Comme dit le maître de La Voie: "Chaque fois qu'un sentiment de vexation, d'incompréhension, d'injustice, d'énervement, d'agacement nous prend,

 

il est important de se mettre dans le Saint-Nom jusqu'à ce que cette émotion négative s'estompe et si elle revient, on recommence, jusqu'à ce que cette négativité nous quitte." 

 

 

Le faire, c'est ne pas être négligents.

 

Nous sommes si peu de choses,

 

qu'un vent un peu trop fort, nous déstabilise. 

 

 

Prendre conscience de ses croyances limitantes,

de ses pensées est le premier pas pour s’en libérer. 

 

 

L'Observance amène à cela, en prendre conscience. 

Se libérer des freins

Etat de faits

 

Quand il nous arrive quelque chose dans notre vie,

impromptu comme d’un évènement, comme d’une rupture complète du ligament croisé, on est souvent déstabilisé par un inconfort qui est dû à cette situation. Si on ne *se recentre pas comme il faut, c'est à dire en mettant sa conscience au bon endroit, on en arrive à être balloté d’un courant à l’autre, sans pouvoir reprendre le courant initial qui nous pose, nous transporte sereinement.

 

 

Tout cela repose sur le fait que *notre perception du monde influence nos émotions et conditionne notre comportement. 

Un évènement provoque une pensée, qui génère un comportement. Si la pensée est exagérée par rapport à la réalité de la situation, cela engendre inexorablement un comportement inadapté.

 

 

C’est en tout cas, ce dont j’ai fait l’expérience chez mes cousines. Par rapport à une situation inconfortable, des pensées sont venues y mettre le troublent, ce qui a engendré *des émotions traduit par un comportement inadapté.

 

 

Ce sont donc nos pensées au sujet d’une situation qui affectent nos émotions, pas la réalité de la situation. En ce sens on remarque bien que *le mal dirigé par les pensées, engendre des conséquences infligeantes ou qu’on s’administre à soi même. 

 

 

On se rend compte qu’un tel schéma est terriblement nuisant.

 

 

 

Rester dans l'harmonie

 

Nous avons toutes les cartes en mains pour pallier à ce différend, en nous permettant d’identifier *les pensées négatives, les systèmes de croyances pour améliorer l’interaction avec son environnement et ses relations.

En y remplaçant ces pensées négatives *par une conscience à sa place, on fait les choses consciemment au moment où elles doivent être faites, et de la bonne façon. Ou alors remplacer les pensées négatives par des pensées adaptées à la situation, ou du moins rester dans la conscience *du Saint-Nom, sans émotion sinon être et faire avec. 

 

 

Quand on s’est rendue compte de *ces constructions mentales, on ne peut qu’être pour ce qui est, vivant l’instant pour ce qu'il est. Sans vouloir changer, ce qui ne peut l’être dans le fond. Sinon on s’enfonce dans la torpeur.

 

 

Observer les choses de près,

en restant dans *L’Observance nous invite à nous remettre

dans la bonne posture intérieure,

pour faire les choses bien.  

 

 

 

Ne pas être négligent

 

C'est tellement indispensable, c’est faire attention à chaque chose pour faire les choses bien. C’est un effort quand on n’est pas bien, quand on a mal dormi, quand on a des douleurs, quand la paresse nous prend, quand on est fatigué.

 

 

Quand on y est pas, on apprend un peu plus *l’impermanence des choses. On apprend que la paresse est un élément néfaste pour soi, que travailler sur soi même permet une meilleure approche des uns et des autres. Que rien n’est fait encore, que tout est à construire vers du toujours mieux. C’est en se rendant compte de l’impermanence que l’on se rend compte que rien n’est sûr, l’existence n’a rien de sûr.

 

 

On le voit bien dans nos expériences, mené par *la Lilà.

Etre négligents, c’est croire que les choses sont permanentes. C’est se saisir d’une certitude là où il n’y en a pas,

et chercher *la vérité dans les choses,

là où il n’y a aucune réalité. 

 

 

Le problème que l’on rencontre souvent, c’est se laisser emporter en imaginant n’importe quoi ! En créant des problèmes là où il n’y en a pas. Quand quelque chose nous déçoit par exemple, ou nous perturbe, le fait d’en être conscient et déjà énorme, par l’Observance ou *les 4 piliers. Ainsi, on peut se réguler. Sans laisser la souffrance être plus grande que la réalité de ce qui en est. 

 

 

L’Observance amène à prendre conscience qu’une pensée émise, fausse déjà la suite, fausse la réalité. Par la pensée vient l’émotion. Par l’émotion vient un comportement inadapté. Tout se joue dans l’instant sans prendre part à nos pensées, qui embrument la piste. 

Retour à l'accueil