Comment s'en remettre à Lui ?

 

En méditant sur la respiration consciente

ou sur La Technique de méditation dite du SaintNom.

 

Le cheminement est essentiel. On ne peut ouvrir sa conscience, si on ne médite pas.

 

Seulement si, on marche pas à pas ou on marche après marche.

L’Observance amène La Grâce.

 

La Grâce amène son cortège de bienfaiteurs, 

généreux bienfaiteur. Bienfaiteur de l’humanité !

L'Un nous sauve

Comme d'un pilotage automatique

 

*La Grâce amène son génie, son phénix, en toute simplicité. Ce qui en résulte que *L'Un nous sauve. Comme si l’orchestre de l’humanité n’était que L'Un en chef d’orchestre, qui donnait la mesure à chaque personne présente, consciente, *pour nous sauver. Et c’est ce qui se passe, il nous sauve à chaque fois que l’on s’en remet à lui.  

 

 

Comme si tout devait être digéré, décortiqué, même la chose la plus insignifiante au premier abord qui justement, ce sera elle, qui nous fera ouvrir notre champ de vision, pour rendre notre regard optimal.

 

 

Le cheminement est lent, seulement c’est pour bien intégrer tout ce qui doit l’être, en prenant en compte tous les composants, pour que toutes les cases soient remplies en uniformisant l’ensemble. Rien n’est laissé au hasard, tout à sa signification même si on n’en a pas conscience tout de suite. 

 

 

*Par L’Observance on avance, on intègre, on se plie à sa pratique, on accepte, on s’ouvre. Par L’Observance on évolue, on grandit. La conséquence fait qu’on bénéficie de Sa Grâce, de sa simplicité, de son coup de pouce.

 

 

Comme les affaires de l'appartement, meubles, canapé, frigo, lit et autre affaires qui, en rien de temps, ce seront des gens qui viendront les charger, amenant dans leur voiture, leurs nouveaux biens. En un rien de temps trois/quatre jours, j’aurai par l’intermédiaire du "bon coin" mis l'annonce, comme cela devait se faire pour récolter un bien bon petit pécule. Pour voir venir les prochains jours. Comme si tout était facile, qui par Sa Grâce tout est possible, *tout est facile

 

 

 

L'impermanence

 

Le cheminement s’est aussi digéré des choses. C'est de prendre conscience des choses qui viennent, pour repartir, disparaître. Le cheminement s’est digéré des choses qui par L’Observance demande un laps de temps *à accepter, que de toute façon, cela reste des choses inutiles à garder. Comme si L’Observance était un bien bel outil, nous permettant de prendre ce dont on a besoin. Et c’est le cas !

 

 

On se rend compte qu’il est facile de se séparer de biens matériaux, même de choses utiles au premier abord qui nous été utiles, pour vivre mieux, à cet instant T. Pour se rendre compte qu’il est temps de *lâcher.

 

 

Le cheminement doit opérer. Même les dernières choses qui mettent du temps à partir trouvant la personne a aidé pour fermer la boucle. Et la boucle est bouclée. La Grâce, elle se charge de trouver la personne qui ne paye pas de mine, seulement qui rend Grâce de cette Grâce donnée, sans savoir que c’est La Grâce.

 

 

Un bonheur de *satisfaction d’aider une telle personne. 

 

 

Il aura fallu que mon fils vienne pendant quelques jours, pour qu’il m’aide à lâcher un fauteuil qui ne rentrera pas dans l’autre appartement, pour le lâcher pour lui. Un fauteuil qui me servait pour la méditation. Seulement tout se donne. Si tout se donne, tout s’achète.

 

 

 

Garder le minimum

 

Laisser tout, pour juste un sac à dos de fringues. Voilà le message. Laisser tout, pour juste l’essentiel que l’on porte, sans rien faire d’autre qu’être dans sa conscience, pour vivre comme il a été prévu que l’on fasse. Vendre, donner, laisser c’est mettre en place un cheminement intérieur qui doit opérer pour ouvrir des fanes, pour laisser couler l’eau de la conscience. 

 

 

Marcher léger, c’est ça en fin de compte, partir avec seulement un sac à dos. Comme si l’essentiel ne se trouvait même pas dans le sac à dos, subtilement trouvé *dans le souffle de sa Grâce. Vivre dans le souffle de sa Grâce, en conscience de L'Un, c’est vivre *dans une conscience détachée de la société du monde, tout en faisant partie de cette société.

 

 

Comme quand mon fils est parti, je suis allée boire un café près de chez moi. J’ai toujours aimé l’ambiance des cafés, de certains cafés qui restent familiaux. Là, c’est le cas. Ou tout le monde se connait, où tout le monde s’apprécie. Je n’ai pourtant pas d’amis, ce sont juste des connaissances, de vue. C’est juste se mettre à la même fréquence que tout le monde, c’est ça qu’apporte L’Observance.

 

 

Ce mettre à la même fréquence que tout le monde, au même niveau de l’instant de conscience, c’est comme faire *partie d’un tout, c’est gratifiant. Et tout à la fois, ça remplit d’une telle énergie que ça fait simplement du bien.

 

 

Ce cheminement m’aura en tout cas permis de partir léger dans tous les sens du terme. Quand on n’a pas le choix, pourtant on a le choix, seulement on sait que ce choix là, reste le meilleur des choix, le best des choix, pour ne pas voir d’autre choix qui soit mieux que ce choix là.

 

 

Comme si ont été au pied du mur, sachant pertinemment d’avoir la chance d’être au pied du mur. Comme si *cette liberté intérieure s’ouvrait d’elle-même. Comme si je fermais juste le chapitre de l’histoire de ce livre, pour pouvoir entamer le nouveau chapitre. Qu’il est nécessaire de partir léger, propre, insouciant  ! 

 

 

Comme si en fermant ce chapitre, cela me donnait l’opportunité de vivre l’existence avec un peu plus d’aisance, de liberté de conscience, avec un esprit plus affuté. Comme si la clef de la conscience n’était en fait que *notre libre arbitre

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