Porter notre attention sur cet instant, c'est être en conscience de L'Un par ce souffle qui entre et qui sort.

Quoi que l'on ressent, physiquement ou émotionnellement, quelle qu'en soit la qualité du moment,

ce moment est ce qui est.

Cette compréhension de "ce qui est" est la conscience,

la manière dont nous appréhendons le présent. 

 

Etre attentif. Quand nous sommes pleinement conscient, attentifs à ce qui est, sans ressentir aucun attachement, nous faisons ce que l'on doit faire, à cet instant précis. 

Nous sommes seulement attentif à ce qui se passe. 

Si le bonheur est l’instant, chaque pas que l’on fait dans chaque instant est le bonheur

 

Le bonheur d’être en conscience de L'Un, à sa place de cet instant prégnant qu'il nous donne tout le temps.

 

Le voyage est fait d’instants,

simplement pour s’être rendue compte,

qu’à chaque instant en conscience,

on vit le bonheur. Voici le propos...

L'instant

Etre à sa place

 

On ne peut vivre *dans l’instant présent, quand appréciant les choses dans cet instant. Se vider le plus souvent possible, c’est se permettre de vivre chaque instant dans son entièreté. Se vider l’esprit, c’est apprécier l’instant pour ce qu’il est. Sinon, on est accaparé par d’autres choses, pour ne pas vivre l’instant comme il doit être vécu. 

 

 

La technique de méditation, nous mène *dans cet espace temps, sans temps. Comme la nuit nous donne plus de repères, comme d’un endroit sans fin, qui nous perd sans repère.

 

 

En restant dans *Le Service, on reste connecté à la technique, dans la bonne posture intérieure, on vit l’instant pleinement. Comme des notes de musique qui par ce souffle, nous maintient dans la mélodie de L’Un, restant dans *son harmonie

 

Mettre en place ces actions, c’est faire les choses le mieux possible, restant dans l’instant comme si nous étions attachés à l’instant par Le Service. Le Service nous donne la possibilité de faire les choses impeccablement, comme si le perfectionnisme nous collait à la peau. Attentif à chaque geste réalisé, s’est vivre l’instant en profondeur, comme d’un moment de Grâce qui nous ai donné de vivre. 

 

*Maitriser ses fluctuations du mental c’est avoir une discipline.  C’est maintenir son attention sur les préconisations spirituelles donné par l’enseignant. C’est rester centré sur Le Service quoi qu’il se passe, comme si nous savions pertinament qu’être en Lui, ne pouvait qu’être mieux que ne pas y être. Comme si *notre conscience savait ces choses-là ! Comme si elle avait été marquée au fer rouge, de nombreuses fois pour en être martelée.

 

 

Quand on est dans cet instant, à faire les choses tellement bien, si bien et parfaitement bien, on est stupéfait de ce que l’on peut accomplir dans cet instant. On est stupéfait du perfectionnisme qui nous tient pour nous maintenir en place. Pourtant, on ne vise pas cette perfection, pourtant on y est. Il y a une seule chose que nous devons prendre en compte, c’est l’instant.

 

 

Par la technique de méditation que l'on a reçu, on est focalisé dans cet instant, d’instant en instant, pour ne voir que l’instant pénétrant, dans sa profondeur, pour ne trouvait que l’instant perfectionniste. 

 

 

Le miracle de *la respiration

 

Cette respiration, nous canalise dans cet instant qui nous permet de vivre à chaque instant. Cette respiration consciente ou par la technique du Saint-Nom, nous vide notre esprit de tout détritus, quand on est simplement conscient de l'instant.

 

 

*Vider son esprit, c’est se donner les moyens de vivre en corrélation avec l’instant, pour notre plus grand bien. C’est se donner en tout cas cette chance, dont La Grâce remplit de tout ses bienfaits, comme d’une double chance de s’accomplir. 

 

 

En étant attentif à ce souffle, en restant centrer sur la technique, on détruit ces détritus tout en étant en action. Par le simple fait d’être attentif, restant dans Le Service. Comme si cette technique nous positionnait directement dans l’instant profond. C’est ce qu’elle fait !

 

 

Pour faire les choses du mieux possible, parfaitement bien. Faire les choses du mieux possible, c’est s’imprégner des choses, dans cet instant profond. Comme si *Le SaintNom ou L'Un nous dicté ses gestes, ses actions comme l’homme invisible qui prend l’être pour lui, s’oubliant. 

 

 

*S’effacer, c’est une posture intérieure qui nécessite une répétition constante de pratique. Ça nécessite une pratique de la technique, en faisant cette technique, on oublie qu’il l'on est. S’effacer vient sans qu’on l'est décidé. S’effacer, c’est avoir besoin de l’instant plus que tout. C’est s’oublier, s’oublier qui l’on est, s’oublier d’où l’on vient, c’est faire dans l’instant.

 

 

Tout simplement être

 

Rien d’autre ne doit interféré ce moment, ces actions dans le seul but *de faire. Faire dans l’instant T. Faire, agir dans l’instant où l’on doit le faire, dans la conscience de L’Un, dans l’harmonie de cet instant profond comme si cette harmonie, n’était que la conséquence d’être là, pour faire dans cet instant profond, sans être. 

 

 

Par contre, on ne peut pas être dans l’instant présent si on a des tas de choses dans la tête, qui brouille les pistes de l’instant. C’est pourtant évident, pourtant on le fait, ce qui nous envoie *des conséquences plus ou moins conflictuelles. C’est comme si on voulait planter un arbre fruitier qui demande une terre saine, dans une terre en friche. 

 

 

Il est bon d’éliminer ces choses-là, pour un meilleur rendement, pour ainsi se concentrer uniquement sur l’instant présent. Je remarque qu’être dans l’instant, partout, même dans des situations difficiles demande *cette discipline d’être attentif à chaque instant, pour chaque instant, à l’instant.

 

Cette discipline est comme un morceau de carton que l’on a besoin qu’il soit plié d’une telle façon, pour aller parfaitement bien avec l’autre bout. Le discipliné, c’est le modelé comme on a besoin qu’il soit, pour être rentable. 

 

 

Méditer sur L’Un, nous donne l’opportunité de rester là, où l’on est dans cet instant. Comme si on se détachait de tout ce qui pourrait nous entourer, pour notre plus grand bonheur. Oui, notre plus grand bonheur de rester dans son dedans quoiqu’il se passe à l’extérieur. C’est comme si on renoncer à tout ce qui se passe dans l’environnement, pour rester dans la conscience de L’Un quoiqu’il se passe, comme si on savait parfaitement bien, qu’il n’y a que là, *où se trouve la Vérité

 

 

Dans cet environnement, *sans conscience, il n’y a que doute, peur, inquiétude, tension, avidité, qui nous inflige un comportement malsain, pollué. En restant en conscience, par ces expériences de notre quotidien, discipliné par une ascèse, on se donne à discipliner notre être coûte que coûte, pour vivre son existence avec toujours plus de facilité.

 

 

Par Sa Lilà, *jeu de L’Un, on actionne chaque instant, le processus, pour rester centré sur cet instant, attentif à la technique. Les instants vécus sont quelquefois sombres, comme le ciel peut l’être dans l’instant. Seulement, l’instant d’après peut être totalement autre chose, l'impermanence, si l’on se donne les moyens de pallier à cette ombre, pour donner au paysage l’éclaircit tant attendu. Ce qui donne *le détachement

 

 

La seule chose qui revient tout le temps, c’est rester dans cette conscience de L’Un, où quand on n’y reste pas, nous fait défaut. Nos émotions nous assaillent, nous perturbent rendant l’instant avec un décor qui n’est pas le sien. Nous rendant fragiles, vulnérables, comme d’une brindille qui se plie par le vent, à chaque coup de vent. Pourtant, on connait les techniques pour ne pas le faire, à chaque instant pourtant, nécessaire de le faire.

 

 

S’extraire du jeu, c’est faire *des pauses méditatives, ces pauses qui sont là, pour nous extraire du jeu. 

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